En 1972, à l'automne, car il y avait de la neige, à 06:00pm, après le souper et après avoir écouté "dactarie" à la télévision, mon père m`avait demandé d'aller chercher un châssis de plastique dans le garage, alors donc immédiatement après cette émission, je me suis habillé et sorti dehors.

En me dirigeant près du garage, j'ai aperçu une lumière au bout du fossé, mais une lumière blanche comme j'en n'avais jamais vu. Puis, je me rappelle avoir marché entre le garage et la grange, que le foin sec qui sortait de la neige ainsi que celui de la grange pliait au vent, mais que ce vent était doux et reposant, et toujours cette lumière blanche mais pas aveuglante, mais enveloppante. Qu'est-ce que je suis allé faire là, je ne sais pas, et comment je suis revenu près de la maison non plus. Je suis entré et j'ai averti toute la famille.

Nous avons fermé les lumières et avons vu la soucoupe se promener sur le coteau qui est à environ un demi-mille de la maison et par la suite s'envoler. J'ai eu l'idée de vérifier l'heure sur le cadran du poêle et il était environ 7:15pm.

Par la suite, je m'aperçut d'une irritation à une place donnée et qui n'a jamais guéri.

Le lendemain, en allant voir derrière la grange, il y avait des traces de bottes autour d'un trou noir jusqu'à la glace. Les bottes n'étaient pas plus grandes que celles d'un jeune enfant et entraient dans la grange. Et sur le coteau, il y avait des trous de creusés dans la neige, un peu de traces autour et encore la même chose un peu plus loin, mais pas de traces qui les reliaient entre elles.

Et plusieurs autres faits se sont passés par la suite, comme le soir où je devais avoir 13 ans, et qu'il y en avait un sur le côté droit de mon lit, appuyé et qui me regardait, ainsi qu'à mes 17 ans, mon lit était dans un autre sens de la chambre et ils étaient deux cette fois-là. Ils ont la tête en poire, de petits yeux en amande, de petits trous comme nez, pas un poil, de grand bras, pas très grand, ils étaient gris-vert (mais c'était le soir).

Dans ces années-là, c'était de passer pour fou si l'on disait à quiconque ce qui se passait, mais aujourd'hui je ne veux pas finir mes jours et, comme mon père, ne jamais dire la vérité et les vraies choses.

*****

Bonjour,

Excusez le délai. Ce qui m`incite à réécrire, c'est qu'en premier, vous m`avez répondu et avez demandé plus de détails. Voici le contexte où nous vivions dans ce temps-là. Mon père était très malade (diabétique) et ma mère s'occupait de la famille (huit enfants), d'âges décroissants, mais très rapprochés, dont je suis le deuxième de famille. Nous vivions sur une ferme, dans un rang, comme l'on disait, de l'autre côté du chemin, c'était la Baie James (le grand nord canadien). Nous étions très pauvres mais avec le temps, mon père avait réussi à réparer la maison. Lorsque nous sommes entrés dans cette maison, je devais avoir environ sept-huit ans et la vie n'était pas toujours rose. Nos voisins (les plus proches) étaient des personnes âgées. Ayant eu plusieurs animaux sur la ferme, mon père a du les vendre au fur et à mesure que les années passaient et qu'il était de plus en plus malade.

Le soir dont j'ai fait mention, n'était qu'une suite des événements qui se sont déroulés dans ce temps-là. Plusieurs événements se sont déroulés et lorsque possible, j'essaierai de mettre une date, heure, année, etc... mais il faut bien dire que cela fait plusieurs années de cela et que certains autres (frères, soeurs) aiment mieux ne plus en parler, et moi, j'ai du avec les années voir plusieurs personnes qui au fur et à mesure m'ont aidé à avoir moins peur (je ne voulais en parler avec personne et devenais de plus en plus renfermé sur moi-même après le soir de 1972). Les faits dont je fais ici mention sont ma propre expérience et n'inscrivent pas ce dont quelqu'un d'autre m'aurait dit pendant tout ce temps (étant toujours resté sur mes gardes vis à vis des "peut-être" d'autrui, je leur laisse donc le soin de raconter leurs versions des faits par eux-même).

Comme tous les jeunes, j'aimais grimper aux arbres et en grandissant, le toit de la maison, de la grange, devinrent un moyen de liberté. Par un après-midi de pluie (ciel nuageux, petite pluie fine mais sans brume), je suis monté sur la grange pour passer le temps. Assis sur le côté arrière de la grange (face aux champs), j'ai vu descendre un objet brumeux en forme d'oeuf (à environ deux cent pied) entre la grange et le petit bois, juste de l'autre bord du petit fossé. La vapeur (brume) était tout autour. Puis il s'immobilisa. Il y avait assez de brume que je ne pus qu'apercevoir sa forme sans autres détails. Vu la distance et l'endroit où il était positionné, je dirais qu'il devait avoir environ trente pieds de circonférence. Il resta immobile à environ une centaine de pieds du sol, un bon moment, assez longtemps pour que je puisse bien le regarder et par la suite, il repartit, en suivant le sens du rang, vers l'est, tout en gardant la même distance du sol.

Le temps passa et un soir de 1972, au souper, mon père me demanda d'aller chercher un châssis dans le garage (fenêtre faite avec un cadre de bois et recouverte de plastique) pour la salle de bain. C'était l'automne et il y avait de la neige (un à deux pieds), après l'émission (dactarie) à six heures, je me suis habillé tout de suite et sortis (il était six heure car mon père était du genre qu'il ne fallait pas faire attendre trop longtemps. En arrivant près du garage, je me suis aperçu qu'il y avait une lumière au bout du fossé qui longe le chemin pour se rendre au coteau, mais une lumière blanche comme je n'en avais jamais vu dans ce temps-là. Et aucun bruit, ce qui me sembla curieux et piqua ma curiosité.

Je me suis dirigé vers la lumière, mais tout en marchant, je regardais autour de moi et me posais des questions: comment, avec autant de lumière, personne ne s'apercevait dans la maison qu'il se passait quelque chose dehors. La lumière était telle et si blanche que je pouvais voir le foin poussé, flotté par un vent si doux, si apaisant. Je ne sais pourquoi, en aucun temps, je n'ai pensé à m'enfuir ou à avoir peur.

Je me suis rendu vers l'arrière du garage et de la grange et par la suite plus rien (perdu tout ce qui s'est passé) comment je suis parti de derrière du garage, grange et retourné à la maison, je ne m'en souviens pas (je me rappelle avoir été vis à vis des fenêtres mais...), en entrant dans la maison, je suis descendu à la cave où il y avait deux de mes frères qui fendaient du bois et je leur ai demandé s'il s'étaient aperçu qu'il y avait quelque chose dehors. Ils m'ont répondu que ça devait être pour cela que le chien se lamentait tant.

Je suis monté en haut voir mon autre frère qui était couché et lui ai dit qu'il y avait quelque chose dehors. Il se leva aussitôt et descendit à la cuisine. Quelqu'un ferma les lumières et nous vîmes la soucoupe se promener sur le coteau qui se trouve à la moitié du lot (un demi mille). Les lumières étaient rouge-orangé-jaune (comme les couleurs du feu), il me semble qu'il y avait aussi un peu de vert clair. Puis elle partit très rapidement. Ils allumèrent les lumières et je ne sais pourquoi, j'ai eu le réflexe de regarder l'heure sur le cadran du poêle: il indiquait sept heure et quart. Puisque tout le monde avait vu et que l'on commençait a en parler entre nous, mon père nous dit de ne pas en parler car tout le monde nous prendrait pour des fous.

Le lendemain, nous décidâmes d'aller voir ce qui c'était passé derrière la grange. Il n'avait pas neigé et ça avait été une nuit très froide. En arrivant derrière la grange, nous aperçûmes un trou dans la neige avec des traces de pas tout autour. Ce qui nous sembla le plus curieux, c'était que la grandeur des traces était plus petite que celle des chaussures que nous portions. Celles d'un enfant mais très jeune, très, très petites, et elles entraient dans la grange et en revenaient comme s'il y avait eu plusieurs voyages de faits. Il y avait aussi un trou de fait au centre des pistes, d'environ deux pieds de diamètre et le fond du trou était noir comme si quelque chose de chaud avait fait fondre la neige.

Nous sommes alors partis pour aller voir sur le coteau. En s'en allant, à plusieurs endroits, il y avait de la neige de monté dans les brins de foin et un objet rond avait frotté par terre (ça faisait l'impression que quelque chose de rond avait frotté par terre en tournant (dix pieds de circonférence). En arrivant sur le coteau, nous découvrîmes des trous creusés jusqu'au sol à plusieurs endroits (je pouvais distinguer le foin dans le fond du trou), de petites traces de pas tout autour mais, chose curieuse, aucune n'allait d'un endroit à un autre (aucune ne communiquait entre elles).

Nous sommes revenus à la maison et il reneigea, ce qui fit tout disparaître.

Par les jours qui suivirent, j'eus des démangeaisons entres les deux fesses et je saignais, et surtout en prenant mon bain, une brûlure se fit sentir à cet endroit et comme l'on dit, ce n'était pas un endroit à montrer à qui que ce soit, alors je gardai cela pour moi. Par la suite et après vérifications, je m'aperçut que j'avais une coupure tout le long, qui partait vis à vis du haut entre les deux fesses et qui descendait jusqu'au rectum. Mais ayant été averti de ne pas parler, j'ai gardé cela pour moi (j'ai une peau assez fragile mais cet endroit ne guérit pas).

Par la suite, j'ai décidé d'écrire cela dans un cahier mais, chose bizarre, le cahier a disparu.

Par un soir où j'étais couché (après le soir de la rencontre, je devais avoir treize ans), je me suis réveillé, il faisait nuit et au pied de mon lit, sur le côté droit, il y avait un être qui me regardait. Il était de couleur vert gris, avec la tête en forme de poire, des yeux en amande, noirs, deux petits trous pour le nez, pas d`oreilles, pas un poil à aucun endroit sur tout le corps (tête, corps, etc...), je ne me rappelle pas de la bouche, un petit corps, il avait un bras long et mince dont le coude était appuyé sur le lit et de grands doigts longs. Je me suis glissé à la tête de mon lit tout en gardant la couverture tirée jusqu'aux épaules, j'avais très peur mais ne fis aucun son. La dernière chose que je me rappelle, c'était que j'étais assis le dos accoté au mur, la couverture que je tenais serrée jusqu'aux épaules tout en regardant celui qui était au pied à côté de mon lit.

Un autre matin, je devais avoir environ dix-sept ans, très tôt le matin, il y en avait deux dans ma chambre, et il ne semblaient pas être trop dérangés tant qu'ils ne s'aperçurent pas que j'étais éveillé.

Il y eu plusieurs autres choses qui se passèrent au fil du temps, autre rencontre mais avec toujours la même approche... etc.etc.etc...

Ben (Canada)
 


Par une belle soirée sans nuage du samedi 28 avril 2001 (23h) nous étions une dizaine sur un balcon du quartier Rosemont à festoyer gentiment quand l`un des nôtres aperçut une lumière s`avancer dans le ciel, suivi d'on aurait dit une multitude de lumières beaucoup plus discrètes mais alignées de façon symétrique et dans une forme géométrique triangulaire.

Personne ne reconnaissait cette forme qui semblait avancer très lentement alors qu`elle avançait au moins à la vitesse d'un satellite. Il était difficile de distinguer la forme exacte de ce "vaisseau" tellement il se fondait dans le ciel étoilé, mais les petites lumières enlignées trahissaient sa présence.

Quelques secondes plus tard, deux bolides pas mal plus petits circulaient dans le même sens que le premier (vaisseau-mère), mais avaient un aspect très différent du premier: ces petits vaisseaux, en forme de losange avec les pointes arrondies, avaient une teinte jaune-orangé et se déplaçaient avec une sorte d'oscillation. Au moins 3 autres petits vaisseaux suivirent, dont 2 qui se déplaçaient côte à côte.

Tout le monde s'entendait pour dire que ce qu'il voyait, il ne l'avait jamais vu auparavant, que la façon dont se déplaçaient ces vaisseaux étaient étranges.

J'aimerais savoir si ces descriptions correspondent à ce que d'autres ont vu, si la présence d`OVNI en plein milieu d'une ville urbaine est phénomène rarissime, car si on les a vu d`autres les ont vus également. Cela peut vouloir dire que les extraterrestres (s'ils en étaient) sont de plus en plus enclin à communiquer avec les humains. Sont-ils amicaux? Je ne me suis jamais vraiment intéressé aux E.T., mais ce que j'ai vu hier est réellement troublant. Et si certains humains super riche s'amusaient à nos dépends!

Pierre (Montréal - Québec - Canada)


Il y a environ 3 ou 4 ans, lorsque je devais avoir 15 ou 16 ans (message reçu le 23 mai 2001 - GREPI), j'étais très passionné par les esprits, les ovnis, les extraterrestres et tous ces trucs paranormaux. Moi et mon ami, qui avions alors les mêmes goûts, avons décidé de jouer à oui-ja, de dire marie noire marie blanche 30 fois devant le miroir et de faire quelques trucs stupides pour assister à un phénomène bizarre. Évidement, rien ne s'est produit. Durant ce temps, ma mère était partie passer la fin de semaine chez son conjoint. Donc j'étais seul chez nous.

Nous avons même été jouer à oui-ja dans le cimetière près de chez nous. Le soir, lorsque mon ami est parti chez lui pour aller dormir, je restai seul. J'allai alors dormir. Durant la nuit, je me réveillai en sursaut par un bruit bizarre venant d'en haut. J'étais couché au sous-sol. J'ouvris les yeux et je me mis à écouter. Plus aucun bruit. Je me suis dit que je rêvais. Alors j'essayai de me rendormir, mais au moment où j'étais sur le bord de m'endormir, je réentendis le même bruit. Cette fois je savais que je ne rêvais pas car j'étais bel et bien réveillé.

J'avais maintenant les yeux grands ouverts et je fixais les marches d'escalier car le bruit venait maintenant de là. Mais ce n'étaient pas des paroles ni des pas de quelqu'un. Ca ressemblait plutôt à un genre de grognement très très bizarre. Mais ce grognement n'était pas animal et encore moins humain. J'avais alors la peur de ma vie.

Les yeux grands ouverts, je regardais les marches pour voir ce qui en sortirait car le bruit était toujours là. C'en était assez, j'avais trop peur pour rester là à ne rien faire. Donc je pris mon bâton de base-ball et j'allai voir. Mon coeur battait à tout rompre. J'allumai alors la lumière du sous-sol... Mais il n'y avait rien et le bruit s'arrêta. Je fis le tour de la cave en allumant toutes les lumières, puis je montai en haut. J'allumai toutes les lumières et je fis le tour de toutes les pièces. Encore rien. Je restai en haut et j'allumai la télé.

Cela me prit presque 2 heures à m'endormir. Le lendemain je me réveillai et vis que toutes les lumières étaient allumées. Je me souvenais parfaitement de ce qui s'était passé, alors j'appelai mon ami pour lui conter mon histoire. Il me conta alors ce qui lui était arrivé. Depuis l'âge de 5 ans que nous nous connaissons et je sais parfaitement quand il parle sérieusement et quand il déconne. Le ton de sa voix était plus que sérieux, il avait même l'air un peu effrayé.

Il me dit que dans la nuit il s'était réveillé et que plusieurs ombres noires l'entouraient. Il ne pouvait plus bouger. Ce n'étaient pas des petits bonshommes verts comme tout le monde le dit, mais plutôt comme des ombres humaines très maigres et très grandes (7 ou 8 pieds). Il n'eut que le temps de clignoter des yeux et lorsqu'il ouvrit les yeux, il n'y avait plus rien. Mais lui il me disait qu'il avait rêvé, mais avec ce que j'avais vécu, je me dis que ce n'était pas une coïncidence et encore moins un rêve. Lui qui peut-être ne voulait pas y croire depuis ce temps, se dit qu'il avait rêvé et que moi aussi je devais avoir rêvé. Mais moi je sais que ce n'était pas un rêve car tout était trop vrai et le lendemain toutes les lumières étaient allumées et j'avais encore mon bâton de base-ball. Je me souvenais parfaitement de cette nuit et à chaque fois que je me remémore cela, des frissons me passent dans tout le corps.

Deux ou trois ans plus tard, je réessayai de jouer à oui-ja, mais lorsque je m'installai devant la plaque, un frisson me parcouru le dos et on aurait dit que mes cheveux s'étaient raidis, alors j'arrêtai et je brûlai la plaque le lendemain matin pour ne plus jamais la revoir... Je crois que j'avais eu une sorte de pressentiment ou je ne sais trop quoi.

Maintenant nous en parlons à certaines personnes et tous rient de nous. Mais je sais que je ne suis pas fou...

Anonyme (Canada)


Au Québec, dans la région de la Mauricie, au-dessus de Grande-Anse, de la galerie de notre chalet en cette belle soirée du 24 juin 2001, il était environ 21h30, mon épouse aperçoit une lumière au loin. Elle saisit les lunettes d'approche et elle constate qu'il s'agit de 5 lumières horizontales de couleur jaune orangé, dont celle du centre plus lumineuse et à faisceau vertical. Ces lumières sont restées au même endroit durant plus de 45 minutes, puis elles ont disparu. Nous sommes 2 témoins de ce phénomène.

Michel (Beloeil - Québec - Canada)


Il y a six mois à peu près, je venais de jouer au basket-ball très longtemps et j'étais très fatigué... Il était à peu près 8h quand, mort de fatigue, j'ai fait jouer un peu de "Marilyn Manson" dans le magnétophone et suis tombé raide mort sur mon lit.

Une partie de moi voulait dormir mais l'autre était occupée à écouter la musique puis j'ai sentit des picotements dans mes pieds. Ils augmentaient de plus en plus, puis je les sentais s'élever doucement dans les airs avec le reste du corps qui suivait. Comme je suis un grand fan de paranormal, j'ai pensé, sur le coup, que je me faisais enlever par des E.T.

Puis j'ai compris que mon corps n'était pas en train de se soulever, mais bien que c'était autre chose qui me contient qui était en train de se détacher. Selon les vrais termes, on appelle cela un voyage astral. Mes pieds étaient maintenant détachés et le reste suivait. Bientôt il ne resta plus que ma tête accrochée à mon corps et elle se détachait avec misère. Puis d'un grand coup sec, je me retrouvai ébloui par une lumière intense, après quelques instants je compris que cette lumière venait de l'ampoule de mon ventilateur. Je ne savais plus trop qu'est-ce qui se passait et mes émotions étaient toutes chamboulées. Je sentais que mon corps était visqueux ou gélatineux si vous préférez. Le temps de me rendre compte de ce qui m'arrivait, d'un coup aussi sec qu'au départ, je suis revenu dans mon corps. J'étais très essoufflé et traumatisé quand je suis revenu. Depuis ce jour, je m'améliore de plus en plus pour faire des voyages astraux. J'ai réussi tout récemment à traverser mon mur pour aller dans la rue. J'en fais maintenant quand je le veux et c'est super!

Mathieu (Drummondville - Canada, Qc)


Bonjour à tous!
J'ai une amie qui m'en a beaucoup appris sur les extraterrestres (son oncle ayant été dans des services secrets, c'est pas une farce, en passant).

Un jour, elle a rêvé qu'elle s'était fait enlever par des extraterrestres et qu'elle était dans un endroit aux murs de métal. Quand elle s'est réveillée dans sa chambre elle se demandait ce qui s'était passé ou si elle avait simplement rêvé. Peu après, elle s'est mise à sentir une douleur dans son bras, et ils y ont trouvé du métal.

Elle essaie d'écrire un livre sur le sujet mais à chaque fois qu'elle essaie de s'y mettre, elle perd ses idées, elle devient confuse. Je trouve ça assez étrange.

Elle est convaincue (et moi aussi d'ailleurs) que nos gouvernements nous en cachent beaucoup trop, et qu'ils devraient enfin nous l'avouer que depuis les années 50, ils ont un contact avec eux. Ils ferment les yeux sur les enlèvements des gens en échange d'informations technologiques. Pourquoi devinez-vous que depuis leur arrivée le monde a tellement évolué. On a plus évolué en 50 ans qu'en 1950 ans.

Ils sont là et je tiens à préciser que selon moi il y 2 sortes d'extraterrestres, une très mauvaise pour nous et une qu'on pourrait dire ''gentille'', en forme d'énergie qui peuvent se transformer en n'importe quelle forme vivante. J'ai entendu dire qu'ils prenaient souvent la forme de grand homme aux cheveux blonds.

Ils sont parmi nous, je le sais, et j'ai bien peur que leur seul but soit le pouvoir.

Il faut que tous arrêtent de nier leur existence. Ils sont là, il n'y a rien de plus certain.

Cathou (Beloeil - Québec - Canada)


OVNI 1983

C'était une soirée qui s'annonçait tranquille et je me dirigeais vers mon ancien village où je suis né. Pendant mon trajet à la brunante entre chien et loup, j'étais sur la route principale et voilà que je fais une crevaison qui m'oblige à m'arrêter pour effectuer la réparation. Donc je descends du véhicule, je commence à réparer la crevaison. Le temps était morose et plutôt à la pluie, le ciel gris ressemblait à une peinture terne d'un peintre qui s'ennuie. Donc je poursuis mon travail en réfléchissant à ma journée que je viens de passer à faire un job très manuel (déplacer des dents de pelles mécaniques dans une extérieure, le poids de chaque dent: environ 50 livres, près de 3500 dents à faire).

Pour revenir à mon histoire, en me dirigeant vers mon village natal, Moisie, il fait frisquet, la nuit avance à l'horizon et le soleil est couché depuis bientôt 1 heure. Je suis seul avec mes pensées et mon pneu à changer quand tout à coup une lumière apparaît un peu plus dans un amas de nuages. La route se poursuivait par une côte qui descendait vers l'est de la 138 (côte de la boule). La lumière se trouvait en bas de celle-ci et semblait faire du surplace, ne bougeait que très peu et survolait des habitations de la localité de Moisie, près de Sept-Îles.

Ce que je puis dire de mon observation, LA CHOSE bougeait et aucun son de moteur, elle avait une forme circulaire plutôt aplatie, elle se déplaçait dans ma direction, les phares de mon auto étaient allumés, la façon de se déplacer en mouvement circulaire (rotation sur elle-même). Des lumières se situaient en dessous de l'appareil, elles avaient des couleurs que je ne pourrais décrire car leurs formes, leurs rayons ainsi que la façon de se mouvoir sur le sol ne correspondaient à rien de ce que j'avais ou n'ai vu à ce jour. Elle (la chose) avança vers ma direction, était à quelques pieds du sol, avait quitté les nuages, étant très bas je pouvais voir sa forme et les espèces de décorations qui faisaient partie de la structure. La lumière était très dense et aveuglante, semblait chercher ou cibler des choses de façon spécifique. Moi je regardais cherchant à savoir. La chose se déplaça, arriva au-dessus de moi, paniqué, je disparus dans l'auto et essayai de démarrer pour fuir car j'avais une crainte assez grande.

Cela est vraiment arrivé, la chose fit quelques passages au-dessus du village et repassa au-dessus de moi, puis quitta à la verticale très très rapidement, disparut dans les nuages. Cela se passa en 1983 et je suis certain que nous ne sommes pas seuls dans cet immense univers.
Merci

Rino (Canada)


Ok,
Moi cet été je suis allé en Gaspésie pour passer 3 jours. Je suis parti de Montréal le mardi le 23 juillet 2001, il était 4h30 pm, j'allais à Carleton pour me baigner dans la mer, je suis passé par Sainte-Annes-des-Monts et j'ai pris la route qui traverse le parc de la Gaspésie. Il était près de 11h30 pm quand je roulais tranquillement, il faisait extrêmement noir, quand tout à coup ma voiture s'est arrêtée, plus un bruit, rien ne fonctionnait, aucune lumière.

Bon, pas de panique, je cherche ma flash-light, il fait extrêmement noir, on ne voit rien, on entend le bruit d'un ruisseau, bon j'ouvre le capot pour voir ce qui se passe, rien d'anormal, tout est beau pour moi, je ne suis pas un mécano, je regarde autour de moi, aucune lumière en vue, aucune maison, rien, tout est noir. Tout à coup je vois dans le ciel très haut, dans les monts Chic-Chock je crois, une lumière qui tournoie très vite et très haut dans le ciel.

C'était un tout petit un peu plus gros qu'une étoile. J'avais hâte de partir, de là je commençais à paniquer un peu, ça craquait dans les bois et la lumière tournoyait toujours.

J'entre dans l'auto pour essayer de démarrer, elle démarre, je sors pour fermer le capot, la lumière est en haut de ma tête, c'est très gros, au moins la grosseur du stade olympique, ça ressemble au stade vu de dessous, il y a de belles couleurs mauves, c'est très clair, on voit très bien dans la nuit et ce n'est pas un hélicoptère, impossible, il est à peu près 100 pieds au-dessus des arbres et immobile, il ne bouge pas, c'est épeurant, ça ne fait aucun bruit, on entend très bien le ruisseau couler.

J'ai rentré assez vite dans l'auto et je suis parti à toute allure, je regardais dans mon rétroviseur arrière et elle ne bougeait pas, elle restait là, fixe, puis elle s'est éteinte. Je roulais à 140km/h, tout était noir autour, je l'avais perdu de vu et je ne l'ai pas revue.

Je suis arrivé à Carleton et, le lendemain, j'ai conté mon histoire et personne n'avait entendu parler de ça. C'est bizarre, j'aimerais quand même savoir ce qu'était cette chose étrange. Si quelqu'un peu me dire si ça lui est arrivé en traversant le parc, j'aimerais savoir. Je pense à ça tous les jours, depuis j'ai repris le parc pour revenir, mais de jour. La prochaine fois je le prendrai de jour, c'est très beau à voir.

Et voilà, c'est mon histoire bizarre de vacances.

Gir (Montréal - Canada)

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